Equipe 1 LATT – 1re journée – Démarrage poussif !

Un bon vieux TDI ! C’est ce qu’on pourrait penser de cette équipe 1 qu’on ne présente plus !

Ah si excusez moi, une « nouvelle » tête a fait son apparition dans l’équipe phare. Celle de François Becker, un ancien de l’épopée des champions du monde (ça ne veut rien dire mais il paraît que ça fait toujours bien de l’écrire).
Du coup avec Franzy, j’oserai même dire : « un vieux tacot cette équipe 1 » : mais oui chers lecteurs, ne nous voilons pas la face, il faut bien reconnaître que la carcasse commence sérieusement à rouiller (regardez plutôt les mines, ravagées par l’alcool, de nos joueurs) que les suspensions laissent à désirer (tendinites à gogo), les sièges sont dégueulasses (regardez les fonds de caleçon, surtout chez Guizou quand il va à la boulangerie)…
Le moteur, lui, en plus, câle d’entrée ! Bravo ! Deux à zéro pour les visiteurs puis trois à un avant que Raph et Guizou ne permettent de recoller au score (3 à 3). Le calvaire ne s’arrêtera pas là pour les bleus qui vont connaître bien des difficultés dans un match piège. La faute à une équipe d’Ingersheim dopée au super sans plomb, et sans complexe. Face à toute cette puissance, peu de vrai réaction pendant deux heures de jeu ; on essaie surtout de combler les brèches et les éventuelles fuite d’huile. Et à ce titre là, il faut bien reconnaître que Raph et Enzo Bull notamment ont joué leur rôle de garagiste à 100%. Ces deux là savent allumer le chalumeau (surtout Bull) pour leurs copains. Avec un effet boost à la clef : eh oui c’est bien connu, une fois que le TDI se met à siffler, le moteur monte alors dans les tours et la vitesse s’accroît ! C’est ce qui est arrivé à cette sympathique équipe 1, à 6 partout : du sérieux, de la motivation et une victoire au bout de quatre heures éprouvantes de match. Ouf, on respire !

Le salon de l’auto

Tour d’horizon des moteurs diesel injection de l’équipe :
Greg (1 v+d) : La golf TDI première génération ! Pas très en jambe, notre Greg ; il s’est un peu mis la pression tout seul ; on va même dire que c’est une version cabriolet, car la capotte prend la pluie ; il n’est plus très perméable ! Allez il va se reprendre le big boss !
Raph (3v+d) : l’Audi A6 2,7 litres TDI de notre cher Jean Elias DeJésus ! Et en version S-line s’il vous plaît ! Peu ou pas de complexe à la table, de l’efficacité, et en plus il en garde sous le capot. Par contre, personne n’est encore aller vérifié si l’intérieur était en cuir !
Jo (2v) : La bonne Honda Civic TDI première génération du gros jacky ! Une bonne gueule, une sono qui va bien, mais un peu dure au démarrage : il faut attendre le deuxième match pour que notre Jo trouve son rythme de croisière. A ne pas oublier à l’arrière l’autocollant « Night for life » et surtout son préféré « j’aime ma Lorraine ».
Guizou (2v) : La bonne Mercedes Cdi mais première génération aussi ! Capable de rouler pendant des heures, mais attention un seul souci mécanique et la machine se dérègle. En plus, lui, on l’a déjà dit, il perd un peu d’huile !
Enzo Bull (3v) : le pick up américain ! Malheureusement, il me semble que du côté de chez l’oncle Sam, on ne roule pas trop au diesel. Du coup, notre capitaine préféré n’a pas trop fait dans le détail, il a pris un départ en trombe et ne s’est pas arrêté…
Franz (0v) : la Seat Marbella version sport ! Mais sans moteur… Ils ne l’ont pas encore installé, mais croyez moi, d’après ce qu’on a vu, il risque rapidement d’y avoir du changement !!

Les supporters, le deuxième moteur
Ils étaient encore nombreux à venir voir les bleus, alors merci à eux. Ils y sont pour beaucoup dans la réussite de fin de match. La soirée s’est bien évidemment poursuivie dans la joie et l’allégresse avec les collègues de la 2, faciles vainqueurs de Dorlisheim. A suivre pour les bleus : Rixheim : attention, toutes ses charmantes berlines devront vite passer la révision et refaire le plein, pour éviter le coup de pompe…

Guizou.